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L'alphabet et la langue étrusques

Jean-Paul Thuillier
Professeur à l’École Normale Supérieure.
Directeur du département des sciences de l’Antiquité

Si la langue étrusque a emprunté aux Grecs un alphabet qu’elle a adapté à ses sonorités, les textes qui nous sont parvenus posent encore de nombreuses questions aux linguistes. Que nous apprennent, aujourd’hui, ces inscriptions sur cette civilisation brillante et raffinée ?

Les onze mille textes

La première chose à souligner est que les Étrusques ont beaucoup écrit. Nous ne parlerons pas ici de leur littérature qui a entièrement disparu mais qui était très fournie, comme le laissent entendre les sources antiques. Que les Étrusques aient eu des livres religieux ne surprendra pas ceux qui savent qu’ils étaient en effet « les plus religieux des hommes », selon la célèbre formule de Tite-Live au début du livre V de sa grande Histoire de Rome : on a même pu dire que leur religion était une religion du Livre, comme d’autres que nous connaissons bien aujourd’hui, mais que la Grèce et la Rome classiques n’ont en revanche pas connues. En tant que spécialistes des pratiques cultuelles et en particulier de la divination, les Étrusques ont eu à leur disposition des écrits qui portaient sur l’haruspicine – l’examen des entrailles et surtout du foie, des victimes animales sacrifiées – sur les foudres et sur les grands moments de la vie des cités, comme celui de leur fondation. Ces ouvrages ont d’ailleurs été traduits en latin, ce qui n’a pas empêché leur disparition, à l’exception de quelques citations que l’on rencontre par exemple chez Sénèque ou Pline l’Ancien.

À côté de ces écrits religieux, les Étrusques ont eu aussi une littérature dramatique – des tragédies en tout cas – et surtout historique : c’est ce que nous révèle, entre autres, l’empereur Claude (41-59) dans son discours au sénat conservé dans le bronze sur la Table Claudienne de Lyon ; pour appuyer sa politique, il y cite en effet des « historiens étrusques », auctores Tusci, qu’il oppose aux auteurs latins. Avant de céder aux charmes de Messaline ou d’Agrippine, Claude avait épousé une descendante de grandes familles étrusques : il avait sans doute grâce à elle bénéficié d’archives qui lui permettraient de devenir un des tout premiers étruscologues de l’histoire.

Nous nous fondons, lorsque nous affirmons que les Étrusques ont beaucoup écrit, sur ce que nous possédons encore, c’est-à-dire sur leurs inscriptions portées sur différents supports, pierre, bronze, terre cuite surtout mais aussi or ou toile de lin. Nous avons en effet retrouvé aujourd’hui environ onze mille inscriptions étrusques, qui se lisent en général de droite à gauche – on les nomme sinistroverses : et même si la plupart de ces textes sont très courts, c’est un chiffre considérable, impressionnant, au regard des rares textes laissés par les peuples voisins des Étrusques dans l’Italie du Ier millénaire avant notre ère, Sabins, Ombriens, Osques, Falisques… et même si l’on se tourne vers Rome ou les Latins. À condition bien sûr de ne considérer que la période pendant laquelle on peut comparer Étrusques et Latins, c’est-à-dire de 700 à la fin du Ier siècle avant J.-C., puisque l’étrusque n’est plus guère écrit après cette date – rappelons que nous sommes alors deux siècles et demi après la fin de l’indépendance étrusque, leur dernière cité libre, Volsinies, l’actuelle Orviéto, ayant été prise par les Romains en 264. Pendant ces sept siècles, nous ne connaissons que trois mille inscriptions latines pour répondre aux onze mille étrusques. Un dernier chiffre révélateur : pour le seul VIIe siècle, on dispose déjà de presque cent inscriptions étrusques qui sont surtout des textes de propriété, traduisant parfois la pratique du don entre aristocrates : c’est l’époque orientalisante, le temps des « princes étrusques », pour reprendre le titre d’une exposition qui s’est tenue à Bologne en 2000-2001.

Une écriture bien connue

Nous sommes avec l’étrusque dans une situation inverse de celle du Linéaire B, l’écriture des Mycéniens, faite d’idéogrammes et de signes syllabiques, une écriture qui ne fut déchiffrée qu’en 1952 par John Ventris et Michael Chadwick et qui dissimulaient en fait du grec. L’étrusque est, lui, écrit dans un alphabet grec que nous lisons donc sans trop de peine, mais la langue elle-même, isolée, n’est toujours pas comprise – encore que beaucoup d’inscriptions puissent être traduites sans grand risque d’erreur. Cet alphabet, les Étrusques l’ont emprunté un peu avant 700 à des Grecs qui s’étaient rapprochés de leur territoire et avec qui ils étaient rapidement entrés en contact : il s’agit de ces premiers colons, venus de l’île d’Eubée, qui se sont installés dans les îles Pithécousses, l’actuelle Ischia, vers 770 avant de fonder, peu après, la colonie de Cumes, au nord du golfe de Naples. Ces premiers colons grecs – une deuxième vague, celle des Phocéens, interviendra un siècle et demi plus tard et fondera notamment Marseille en 600 av. J.-C. – étaient intéressés par les richesses minières – fer surtout – de la région dominée par les Étrusques ; ils sont donc allés le plus loin possible vers le nord de ce qui allait devenir la Grande Grèce : au-delà, ce n’était plus possible, le pouvoir étrusque leur en interdisait l’accès.

Cet alphabet n’est pas tout à fait semblable à celui que nous lisons habituellement et qui est un alphabet ionien ou attique : sur ce plan non plus la Grèce n’était pas unifiée ; il s’agit là d’un alphabet occidental, dit encore « rouge » par les linguistes. Pour prendre un seul exemple, le signe en forme de trident qui a pour nous la valeur phonétique « ps » sert ici, comme plus tard en Étrurie, à noter le son « kh ». Plusieurs de ces alphabets, gravés sur des vases de bucchero, la céramique noire typique de l’Étrurie, ou sur d’autres matériaux comme l’ivoire nous sont parvenus. La maîtrise de l’écriture apparaissait d’ailleurs à l’origine comme un signe de statut aristocratique : ce n’est pas un hasard si de tels abécédaires se retrouvent sur des matériaux précieux comme l’ivoire et si d’autres objets liés à l’écriture sont déposés dans des tombes princières. On a parfois souligné le rôle des femmes étrusques dans l’adoption de l’écriture : des lettres gravées apparaissent en effet dès la fin du VIIIe siècle sur des objets de terre cuite, des bobines, liées à la pratique du tissage et donc à la sphère féminine ; sans insister sur le rapport entre texte et textile, on serait alors tenté de voir là un nouveau signe de la situation privilégiée de la femme au sein de la société toscane.

Apprendre l’alphabet… étrusque

En fait, les Étrusques adoptent cet alphabet grec avec toutes ses lettres mais ils vont bientôt l’adapter à leur propre système phonétique. En effet, ils n’utilisent pas certaines consonnes sonores prononcées avec vibration des cordes vocales comme la labiale B ou la dentale D mais se contentent des sourdes ou des aspirées correspondantes comme le P et le T, ou le PH et le TH. Si le B et le D vont devenir des lettres mortes en étrusque, le cas du gamma (G), troisième lettre de l’alphabet grec, qui a ici une forme un peu particulière en demi-lune, est encore plus intéressant : les Étrusques vont en effet le garder mais en lui donnant la valeur sourde correspondante de K. On tient d’ailleurs là la preuve que l’alphabet latin dérive de l’étrusque ; dans notre alphabet français, calqué sur le latin, le C – qui était donc prononcé au départ K, comme dans cabane – est désormais en troisième position à la place du gamma : ainsi, sans le savoir, parlons-nous étrusque d’une certaine façon… Entre temps, le latin qui, lui, avait besoin dans son système phonétique des consonnes sonores, va recréer un G qui vient tout droit du… C, muni d’un petit signe diacritique. Une autre caractéristique de l’étrusque porte cette fois sur les voyelles : au lieu d’avoir le O et le U (avec le son OU) qui sont des voyelles dites d’arrière, l’étrusque ne garde que le U, sans doute parce que la prononciation de cette voyelle était à mi-chemin entre le O et le U. Ainsi, le dieu grec Apollon va-t-il se retrouver en étrusque, par exemple à l’exergue de miroirs, avec la forme Apulu, ou plus tard Aplu. Ces éléments apparaissent bien sur un petit flacon de bucchero trouvé à Cerveteri dans une tombe aristocratique de la fin du VIIe siècle : mis au jour dans la nécropole du Sorbo, près de la célébrissime tombe Regolini-Galassi, il est aussi conservé au musée Grégorien Étrusque du Vatican. Ce petit vase allongé et à fond plat a longtemps été interprété, en tout cas depuis sa découverte au XIXe siècle, comme un encrier, parce qu’il porte gravés sur sa panse un syllabaire et sur sa base un abécédaire. Or, si ce dernier comporte toutes les lettres de l’alphabet modèle grec, et donc même celles que n’utilisait pas la phonétique étrusque, le syllabaire, lui, ne retient que les consonnes réellement utilisées dans la langue parlée : chacune est suivie de plusieurs voyelles, a, e, i, u comme pour un exercice d’apprentissage réel de la langue.

S’il a surtout été question jusqu’ici de disparition de lettres dans l’alphabet étrusque par rapport aux vingt-quatre lettres de l’alphabet grec eubéen du VIIIe siècle, il faut cependant noter que les Étrusques disposent assez rapidement non pas d’un seul s, le sigma, mais bien de deux sifflantes, avec un san supplémentaire, ce qui renvoie à l’alphabet corinthien et même à l’alphabet phénicien, leur ancêtre. Par ailleurs, les Étrusques ont été amenés à créer un nouveau signe pour noter le son F : c’est un signe qui ressemble tout à fait à notre chiffre 8, et pour lequel nous ne voyons pas vraiment d’antécédent. En tout cas, à partir de 550 avant notre ère, c’est un signe qu’on repère très vite dans les inscriptions ; par exemple, le cippe de Pérouse nous met-il sous les yeux, à plusieurs reprises, le nom de la famille A8UNA (=Afuna).

Il est un point sur lequel nous n’insistons pas car il nous obligerait à entrer dans trop de détails : ce sont les différences régionales et les évolutions chronologiques. C’est ainsi qu’il y a des habitudes linguistiques différentes selon les cités et qu’on peut même parler souvent d’une écriture étrusque septentrionale ou méridionale. Cela se marque par exemple sur la façon de rendre le son k soit par un C, l’ancien gamma, soit par un vrai K, le kappa grec. L’utilisation des deux sifflantes obéit aussi à des règles diverses selon les régions. Mais si nous donnons ici une image de ce qu’est la civilisation étrusque dans son ensemble, il faut néanmoins insister sur le fait que nous ne nous trouvons pas devant un pays unifié, avec un pouvoir centralisé comme le sera l’Empire romain. L’Étrurie est un ensemble de cités – on parle souvent des douze cités, de la dodécapole – et chacune de ces cités, comme en Grèce, avait gardé des habitudes particulières sur bien des plans, linguistique, architectural ou artisanal. De la même façon, les inscriptions d’époque hellénistique se distinguent bien, par exemple, de celles de l’époque archaïque. C’est en particulier le phénomène de la syncope qui doit être souligné, phénomène phonétique qui aboutit à la disparition de voyelles en syllabe intérieure : ainsi le prénom avile devient-il avle (Aulus en latin), notre Apulu se retrouve-t-il après le Ve siècle sous la forme Aplu, Menerva, la Minerve-Athéna étrusque, devient Menrva, et l’Ulysse grec, Odusseus, apparaît-il en étrusque comme Uthste, le o et le d n’étant pas de mise dans cette langue, comme on le sait. À vrai dire, les légendes gravées en exergue de certains miroirs de bronze sont ici très révélatrices et nous donnent parfois des formes un peu surprenantes.

…pour lire une langue « mystérieuse » ?

L’étrusque reste aujourd’hui une langue isolée ; la stèle trouvée à Lemnos, dans le nord de l’Égée est aussi de l’étrusque écrit dans un alphabet un peu différent : si l’on peut proposer plusieurs hypothèses permettant d’expliquer la présence de cette stèle à cet endroit, en revanche, les tentatives, innombrables, qui ont été menées pour apparenter l’étrusque à une autre langue ont échoué car elles ne prenaient en compte que des rapprochements superficiels ou forcés. En 1961, Z. Mayani découvrait la clé « albanaise » de l’étrusque ; il faut aussi citer au moins la solution hittite défendue par le savant bulgare V. Georgiev ; les rapprochements avec des langues indo-européennes ont été réguliers car ils partaient de points de contact évidents, ce qui est bien normal puisque les Étrusques ont été amenés à côtoyer pendant longtemps des voisins de souche indo-européenne. On a ainsi été amené à classer l’étrusque comme pré-indo-européen ou proto-indo-européen ou encore péri-indo-européen : on aurait plutôt tendance à dire aujourd’hui que l’étrusque n’appartient pas au groupe des langues indo-européennes. Et ceci pour deux raisons essentielles, qui tiennent à la morphologie et au lexique.

Tout d’abord, l’étrusque nous apparaît comme une langue « agglutinante », c’est-à-dire que, dans la déclinaison, les suffixes marquant le nombre ou le cas ont tendance à s’ajouter les uns aux autres, à s’agglutiner, plutôt qu’à fusionner comme on le voit majoritairement dans les langues classiques comme le latin ou le grec – on parle pour ces dernières de langues flexionnelles. On cite souvent l’exemple du mot étrusque clan, qui veut dire fils, et qui revient fréquemment dans les épitaphes : « au fils » se dira clen-si, « les fils », c’est clen-ar et « aux fils » se dit clen-ar-a-si – ce datif pluriel étant très clair puisqu’on voit bien le suffixe de datif (si) s’agglutiner au suffixe de pluriel (ar). Des comparaisons assez précises peuvent être faites sur ce point morphologique avec le turc qui n’est pas non plus une langue indo-européenne. Les remarques sur le vocabulaire vont exactement dans le même sens, lorsqu’on regarde en particulier les noms de chiffres et les termes de parenté. Les premiers sont assez bien connus car des dés d’ivoire trouvés à Vulci et conservés à Paris, à la Bibliothèque nationale, portent sur leurs six faces non pas des points mais de véritables noms : on aboutit à une série qui pourrait être dans l’ordre thu, zal, ci, sa, mach, huth, tous mots qui n’ont rien à voir avec les noms de chiffres dans les langues du groupe indo-européen. Pour le second registre, qui est aussi bien documenté par les sources puisque nous avons un grand nombre d’épitaphes qui décrivent des liens familiaux, nous avons repéré, à côté de clan « fils » déjà cité, sech « fille », puia « épouse », apa « père » – ici le rapprochement avec « papa », présent dans beaucoup de langues, n’est en rien pertinent –, ati « mère » : là encore, et il s’agit d’un domaine très conservateur, nous ne pouvons pas établir de rapprochements avec des langues indo-européennes, et nous devons en tirer la même conclusion quant au caractère non-indo-européen de l’étrusque.

Mais on traduit (presque) tout…

Doit-on alors se laisser aller au découragement en attendant la découverte d’une « Pierre de Rosette » ? On a cru tenir la bilingue lorsqu’on a trouvé les lamelles d’or de Pyrgi dans les années 1960, mais les textes phénicien et étrusque se sont révélés parallèles et non identiques. En fait, la situation n’est pas si désespérée puisque l’immense majorité des inscriptions étrusques est comprise de nous aujourd’hui. Il s’agit de textes courts, des épitaphes ou, dans les périodes plus anciennes, des inscriptions de propriété et de don qui sont constituées surtout de noms propres et de mots qui reviennent souvent comme certains pronoms ou certains verbes marquant le fait de donner ou de dédier. Prenons trois exemples qui montreront ce que l’on connaît. Sur un vase de bucchero du VIe siècle trouvé à Véies, figure l’inscription mini muluvanece avile vipiiennas qui doit se traduire par : « m’a donné avile vipienna » ; c’est une inscription « parlante » où l’objet déclare avoir été offert par un certain avile (c’est en latin le prénom Aulus) vipienna ; nous rencontrons là un personnage historique, Aulus Vibenna, bien connu par ailleurs comme compagnon du roi Servius Tullius. Autre exemple : à Orvieto, dans la nécropole de Crocifisso del Tufo (550-500), l’architrave qui surmonte la porte d’entrée de chaque tombe porte une inscription gravée. L’une d’elles déclare par exemple : mi aveles sipanas, « je suis (la tombe) d’avele sipana » : encore une inscription parlante qui nous livre le nom du premier titulaire de cette tombe, avele (même prénom que supra) sipana ; nous constatons ainsi que le système bimembre, avec prénom et nom, était déjà en vigueur en Étrurie, alors que les Grecs ne l’ont pas connu. Dernier exemple, avec une inscription figurant sur une urne funéraire de la région de Chiusi, datant des années 100 avant notre ère : aule seiante sinu larthal tiscunal clan. On reconnaît là un certain Aule (c’est encore le même prénom) Seiante (nom de famille, gentilice) Sinu (surnom) fils (c’est le mot clan déjà vu) de Larth (prénom de son père) et de Tiscunei. Ce dernier mot est le nom de famille de sa mère ; nous voyons ainsi que le matronyme pouvait jouer un rôle dans l’onomastique officielle, ce qui traduit le statut privilégié de la femme dans la société étrusque. Laquelle femme avait aussi un prénom – Ramtha, Thana, Tanaquil – que ne possède pas la femme romaine…

Restent les quelques textes plus longs qui nous sont parvenus et qui continuent à poser beaucoup de problèmes car bien souvent le sens des mots nous échappe, en dépit des progrès qui sont faits régulièrement. Ainsi de la Table de Cortone, une belle inscription gravée sur bronze que l’on a récemment mise au jour, qui est, avec ses deux cent six mots, le troisième texte étrusque par la longueur : on s’interroge certes beaucoup sur certains passages mais on est à peu près sûr qu’il y est question d’un contrat portant sur des terres situées autour du lac Trasimène. Terminons sur le plus célèbre et le plus long, la Momie de Zagreb, qui a fini après des aventures rocambolesques dans le musée de la capitale croate : il s’agit d’un calendrier religieux écrit à l’encre sur une toile de lin, récupérée par la suite par un momificateur et découpée en bandelettes pour envelopper une momie de jeune fille. Mais l’haruspice étrusque qui avait emporté en Égypte son « livre d’heures » toscan n’avait pas sans doute pas deviné le destin final de ce document qui suscitera encore bien des études…

Jean-Paul Thuillier
juin 2004

  Bibliographie

Jean-Paul Thuillier
Les Etrusques. Histoire d'un peuple.
Armand Colin, Paris, 2003 (coll. Civilisations)
Dominique Briquel
La civilisation étrusque.
Fayard, Paris, 1999 (coll. Peuple de la différence)
M. Pallottino
La langue étrusque. Problèmes et perspectives.
, Paris, 1978
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