Emmanuel Faure partage avec la plupart des maîtres-voyageurs que furent Stendhal ou Chateaubriand ce sentiment, à beaucoup familier, de se sentir "chez soi" dans toutes les villes européennes dès lors que s’y trouvent à portée de main des musées et des églises, des palais et des châteaux, des vestiges archéologiques, des bibliothèques et des cafés.
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Emmanuel Faure partage avec la plupart des maîtres-voyageurs que furent Stendhal ou Chateaubriand ce sentiment, à beaucoup familier, de se sentir "chez soi" dans toutes les villes européennes dès lors que s’y trouvent à portée de main des musées et des églises, des palais et des châteaux, des vestiges archéologiques, des bibliothèques et des cafés.
Qu’elles soient sur les rives de la Seine ou dans la baie de Naples, qu'elles se nomment Fontainebleau, Sienne ou Amalfi, ce brillant historien de l’art aime chacune d’entre elles et interroge leur patrimoine avec la même intensité. A ses yeux, les œuvres d’art qu’elles abritent ne sont jamais désincarnées. Elle sont étroitement liées au contexte dans lequel elles ont été créées, ainsi qu’à la vie de l’artiste dans sa véracité… réduire